C’est un aspect peu connu de la vie du général Bertrand que la conférencière mettra en lumière, celui de l’agronome soucieux de progrès agricoles.
En effet, entre 1828 et 1835, sur ses immenses domaines de Saint-Valentin (900 hectares !), il fit venir d’Alsace et du Palatinat prussien des fermiers anabaptistes (une minorité protestante longtemps persécutée).
Des travaux de fond
L’Indre, un département pauvre ?
Pas en termes de patrimoine en tout cas. L’ouvrage Châteaux, manoirs et logis - l’Indre, récemment réédité, recense plus de 500 édifices qui vont de la simple tour de défense au puissant château-fort de la guerre de Cent Ans, du modeste manoir du XVe à l’imposant château néogothique de la fin du XIXe, de l’aimable logis campagnard aux fastes de Valençay.
L’Album, réalisé de 1914 à 1916, par une jeune infirmière, Magdeleine Cressent, nous fait découvrir quelques aspects de la vie castelroussine pendant la Première Guerre Mondiale.
La Grande Brenne, est une zone humide continentale d’intérêt écologique majeur située dans le département de l’Indre. C'est aussi une grande région piscicole française au même titre que la Sologne ou la Dombes.
Ce concentré de verdure un peu folle, à odeur de menthe lorsque vient l’été, tranche avec la rive opposée de l’Indre, ses pelouses et ses allées nettes, ses arbres sages, pins, bouleaux droits ou saules pleureurs. A Déols, c’est tout le contraire : nature et diversité sont recherchées, voulues par le Conservatoire, propriétaire de 6 ha et gestionnaire de la totalité du site (il a passé une convention de gestion avec la municipalité). C’est lui qui agit au quotidien : surveillance du troupeau, organisation des visites, etc.
Le 15 juillet 1943 le gouvernement de Vichy crée le 1er Régiment de France, force militaire inter-armes de 2760 hommes. Implanté dans le Berry, principalement au Blanc, il est particulièrement chargé d'assurer des opérations de protection de barrages hydro-électriques, de lignes hautes tensions et de voies ferrées.
L’Arnon et la Champagne berrichonne
La Vauvre, une rivière de transition
Pelouse calcaire
Dans les années 1990, le remembrement permit que cette parcelle de 3 ha soit attribuée à la commune. Longtemps livrée à la pâture des chèvres et des moutons, elle fut ensuite abandonnée devenant, aujourd’hui, cette simple pelouse sèche mangée d’herbe sauvage. Nul engin ne la fauche : la pente est bien trop raide, dangereuse donc.
