L’alimentation
Documentsdocument: Accroche: La qualité de l’alimentation peut aider la personne âgée à bien vieillir et à rester en forme. Elle contribue à la prévention de certaines maladies (maladies cardio-vasculaires, obésité, diabète, ostéoporose etc.)
Description: Après 50 ans il est essentiel d’adapter son alimentation aux besoins nutritionnels spécifiques en eau, calcium, ainsi qu’en quantité et qualité notamment des aliments.
Il est impératif de ne pas se restreindre en calorie, en protéine, et de ne pas se mettre au régime sans sel sauf indication médicale imposée par l’état de santé.
Une alimentation équilibrée, suffisante et variée permet de répondre aux besoins quotidiens de l’organisme, en favorisant ainsi l’autonomie.
Idéalement, il faudrait consommer tous les jours :
-> 3 à 4 fois par jour des produits laitiers pour le calcium et les protéines (lait, yaourts, fromage…)
-> 1 à 2 fois par jour de la viande, du poisson, des œufs pour les protéines qui sont essentielles pour conserver une masse musculaire suffisante
-> à chaque repas des féculents ( pain, pommes de terre, riz, pâtes, légumes secs) qui fournissent les glucides complexes (source d’énergie) et les protéines végétales
-> au moins 5 fruits et légumes par jour pour les fibres, les vitamines et les minéraux, les antioxydants
-> des matières grasses : végétales (huile de colza, d’olive …) ou animales (beurre, crème fraîche, margarine) pour leur pouvoir antioxydant et les vitamines
-> au moins 1 litre de boissons pour l’hydratation de notre corps, de l’eau en priorité
-> des sucres et produits sucrés, modérément pour le plaisir et pour un complément d’énergie (confiture, confiserie, glace). A consommer de préférence en fin de repas et non à jeun.
L’assaisonnement et la variété des plats permettent de donner envie de manger. Pour donner du goût, il faut utiliser du poivre, de la moutarde, des cornichons, des herbes (thym, laurier, romarin) ; pour donner de l’onctuosité rajouter un peu de crème fraîche, du lait de coco, un yaourt.
La présentation des plats doit être riche en odeurs et en couleurs pour donner l’envie de manger. Une cuisine fade et monotone entraîne une perte d’appétit et à long terme une dénutrition.
Pour faciliter la diffusion des nouvelles recommandations diététiques, des actions sont proposées par les partenaires de la politique gérontologique (atelier cuisine organisé par le CODES, Coordinations gérontologiques, Caisses de retraite…).
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La qualité de l’alimentation peut aider la personne âgée à bien vieillir et à rester en forme. Elle contribue à la prévention de certaines maladies (maladies cardio-vasculaires, obésité, diabète, ostéoporose etc.)
Après 50 ans il est essentiel d’adapter son alimentation aux besoins nutritionnels spécifiques en eau, calcium, ainsi qu’en quantité et qualité notamment des aliments.
Il est impératif de ne pas se restreindre en calorie, en protéine, et de ne pas se mettre au régime sans sel sauf indication médicale imposée par l’état de santé.
Une alimentation équilibrée, suffisante et variée permet de répondre aux besoins quotidiens de l’organisme, en favorisant ainsi l’autonomie.
Idéalement, il faudrait consommer tous les jours :
-> 3 à 4 fois par jour des produits laitiers pour le calcium et les protéines (lait, yaourts, fromage…)
-> 1 à 2 fois par jour de la viande, du poisson, des œufs pour les protéines qui sont essentielles pour conserver une masse musculaire suffisante
-> à chaque repas des féculents ( pain, pommes de terre, riz, pâtes, légumes secs) qui fournissent les glucides complexes (source d’énergie) et les protéines végétales
-> au moins 5 fruits et légumes par jour pour les fibres, les vitamines et les minéraux, les antioxydants
-> des matières grasses : végétales (huile de colza, d’olive …) ou animales (beurre, crème fraîche, margarine) pour leur pouvoir antioxydant et les vitamines
-> au moins 1 litre de boissons pour l’hydratation de notre corps, de l’eau en priorité
-> des sucres et produits sucrés, modérément pour le plaisir et pour un complément d’énergie (confiture, confiserie, glace). A consommer de préférence en fin de repas et non à jeun.
L’assaisonnement et la variété des plats permettent de donner envie de manger. Pour donner du goût, il faut utiliser du poivre, de la moutarde, des cornichons, des herbes (thym, laurier, romarin) ; pour donner de l’onctuosité rajouter un peu de crème fraîche, du lait de coco, un yaourt.
La présentation des plats doit être riche en odeurs et en couleurs pour donner l’envie de manger. Une cuisine fade et monotone entraîne une perte d’appétit et à long terme une dénutrition.
Pour faciliter la diffusion des nouvelles recommandations diététiques, des actions sont proposées par les partenaires de la politique gérontologique (atelier cuisine organisé par le CODES, Coordinations gérontologiques, Caisses de retraite…).